J’ai vu The Tree of Life, en séance de rattrapage. C’était la palme d’or à Cannes l’année dernière, on m’avait parlé de dinosaures, et pis y’a Brad. Fallait que je le vois.
Mais on m’avait également prévenue : les 2h18, tu vas les sentir passer.
Effectivement, Terrence Malick a tout fait pour être primé à Cannes. Long, psychédélique, philosophique, et partant dans tous les sens, il faut s’accrocher pour rester jusque la fin. Mais c’est un beau film. Et si le thème principal reste l’éducation des enfants, la foi est omniprésente. Les questions s’enchaînent assez logiquement. Depuis quand Dieu nous surveille-t-il ? Il faut alors remonter à l’origine de la vie, et poursuivre jusque dans nos plus petites cellules.
Et l’eau, l’eau toujours là, l’eau synonyme de vie. Rien n’existerait sans elle. La pluie, les ruisseaux, les larmes, les cascades, les fontaines. Partout l’eau, partout la végétation, des arbres centenaires. Et beaucoup d’images magnifiques.
Moi j’aime bien ça, les détails de l’infiniment petit, le corps humain et ses mécanismes qui nous rendent vivants. Les globules dans nos veines. Mais aussi les étoiles, les constellations et planètes, infiniment grandes, majestueuses. Ne me dites pas que vous n’aimez pas les questions sur la foi, sur le Dieu unique. Parce que franchement, quand on compare ces deux images, on ne peut pas s’empêcher de faire le lien :
Y’a comme un rapport avec ça :
- Docu TV : La planète miracle II
- Série : BattleStar Galactica (en cours)
- Film : Inglorious Basterds, mon dernier film avec Brad.
Publié par Abyna 
Lu, Vu, Entendu, Goûtu ! 