Bouquin : Le destin de l’épouvanteur

7 Mai 2012

J’ai lu Le destin de l’épouvanteur, le tome 8 relatant les aventures de Tom Ward, ce jeune apprenti épouvanteur qui balade en Europe.

Sorti le 23 février, je l’ai finalement lu un an après le tome 7. Entre-temps comme prévu est sorti un spin-off, Les sorcières de l’épouvanteur, que je n’ai pas encore acheté ni lu. Il faut dire que la rentabilité n’est pas top : la police taille 24 et les doubles interlignes permettent de parcourir les 300 pages en 2 ou 3 heures à peine, et la version brochée (puisque ça n’existe pas en poche) coûte 13,5€. Il ne faut pas oublier que le public visé a dix ans à peine. Mais je termine les sagas que j’ai commencées, en règle générale.

Même si j’y vais à reculons, le dernier tome ne m’ayant pas particulièrement enchanté par sa nouveauté. Certes Tom est revenu dans la Comté après être allé en Grèce combattre l’Ordinn, et le pays a sombré. Ils fuient donc vers l’Irlande, terre magique et heureusement, un souffle nouveau rafraîchit l’atmosphère. Un type d’esprit inconnu, le retour du Malin, un dragon élémentaire, un bouc et des mages…

De plus en plus de croisements mythologiques sans alourdir l’histoire, des tournures d’évènements toujours aussi surprenantes, ce tome-là était bien plus agréable à lire que le précédent. Même si, pour le rapport qualité-prix, je préfère aller au cinéma 🙂 J’aime beaucoup les petits dessins en noir et blanc, jeux d’ombres et de reliefs, qui démarrent chaque chapitre. Je tenais à le signaler.

Y’a comme un rapport avec ça :