Film : Avengers

28 avril 2012

J’ai vu Avengers, en 3D et en VO, comme tout le monde (cf les futures statistiques du nombre d’entrées extravaguant la première semaine).

Joss Whedon, c’est Buffy The Vampire Slayer, c’est Angel, Firefly, Doll House. Des univers travaillés et complets. Marvel, c’est un demi-siècle de BD publiées aux USA. Affront ultime, je vais vous répertorier les membres des Vengeurs, cette équipe de super-héros destinée à sauver la planète, sous les ordres bienveillants mais secrets du S.H.I.E.L.D. :

  • Hulk, scientifique qui teste son sérum raté de super-soldat sur lui et finit par devenir gros et tout vert quand il s’énerve.
  • Iron Man, richissime bogoss du nom de Tony Stark qui s’est fait faire une super-armure de la mort qui tue.
  • Black Widow, la Veuve Noire, qui n’a pas son film à elle mais qui apparaît dans le film Iron Man 2. Balèze, latex, classe.
  • Thor, fils de Odin, s’est fait exiler sur Terre parce qu’il se rebellait trop. Il retrouve son marteau et retourne délivrer Midgard de son méchant frère Loki.
  • Hawkeye, Œil-de-faucon est un archer super doué, qu’on croise dans le film Thor.
  • Captain America, un gentil garçon maigrichon qui tente aussi le sérum de super-soldat. Cette fois, ça marche.
  • D’autres, qui ne sont pas présents dans le film, pour des raisons de droits (Wolverine appartient à la Fox, Spiderman à Sony) ou de popularité (pas d’Ant-Man, pas de Wasp…).

J’avais déjà relevé les liens entre les différents films, et en images vous avez ce superbe résumé des gentils, méchants, clins d’œils, caméo de Stan Lee et anecdotes essentiels avant d’aller voir Avengers. C’est un petit peu nécessaire pour comprendre toute la portée de ce MAGNIFIQUEMENT FABULEUX FILM que vous devez voir. Si vous aimez les super-héros, n’hésitez pas. Humour, rebondissements, action, romance, taunts (Tony, my love…), il y a tout ce que vous voulez dans Avengers.

Les combats sont clairs, l’humour omniprésent (je ne me souviens plus d’avoir ri autant devant un film), ils sont tous magnifiques, pas une seule scène en trop. Rien à dire de plus que WAHOU, celui-là je vais aller le voir plusieurs fois au ciné, et il finira dans ma vidéothèque. Promis.

Petit complément quelques jours plus tard… Déjà 3 visionnages (VO3D et VF) et pour parler à ceux qui l’ont vu, une référence diffère entre la VO et la VF : Legolas devient Robin des Bois. Le box-office ne m’a pas trahie : 2 millions d’entrées la première semaine.


Film : Twixt

26 avril 2012

J’ai vu Twixt, en VO, de Francis Ford Coppola, le jour où la Terre est allée voir Avengers.

Classé épouvante-horreur, FF Coppola joue comme à son habitude sur les peurs et les pensées de ses protagonistes. C’est pourquoi il faut vraiment être immergé dans l’ambiance avant d’aller voir ce film, sous peine de passer à côté. Moi, je suis passée complètement à côté, et ce n’est qu’après quelques recherches et lectures qu’on arrive à dépatouiller quelque chose de ce film étrange.

Reprenons. Coppola pour moi, c’est Dracula. Noir, Rouge, différent des autres vampires. Pour d’autres ce sera Apocalypse Now, Le Parrain, Patton. Mais c’est aussi lui qui a réalisé Captain Eo (le spectacle vieux -1986- et tout pourri avec Michael Jackson, à Disney là) et d’autres échecs visiblement. Une fois ces commandes ayant renfloué son navire, il a pu se consacrer à des films plus autobiographiques, à budget limité. Écrire des scénarios, négocier des avances, vivre avec la culpabilité de son enfant mort dans un accident de hors-bord, et finalement tenter d’ouvrir l’esprit des gens, de les toucher. Voilà pour le sujet du film.

Rencontrer Edgar Allan Poe doit obligatoirement faire partie de ses rêves. La mélancolie permanente additionnée à l’horreur que peut contenir chaque être vivant donne une première vision du film. Le shérif si gentil ? Reconnu coupable de crimes. Le pasteur ? N’en parlons pas. Virginia n’est pas une sainte, et seuls ceux qui l’affichent, les monstrueux gothiques qui vivent de l’autre côté de la plage semblent sans danger. Comme dans un rêve, les scènes se suivent de façon désordonnée. Comme dans un rêve, les détails et les couleurs n’ont pas d’intensité logique. Rouge, jaune citron, maquillage rose de V., l’attention est portée sur des parties incongrues, une chouette, un appareil dentaire, les cratères de la lune.

Bourré de références dont je n’ai pas calculé la moitié, sans réelle scène d’horreur ni d’épouvante, j’ai l’impression de m’être retrouvée devant un rêve mélancolique sans queue ni tête, L’imaginarium du docteur Parnassus l’humour en moins, ou Mr Nobody sans le futurisme. Sans doute trop personnel, trop lent pour moi, ou simplement pas adapté au moment.

Y’a comme un rapport avec ça :


Films : UI, Mercredi 25 avril 2012

25 avril 2012

Avengers ! Avengers ! Avengers ! Tous les jours si je veux !

  1. Les vacances de Ducobu, suite des aventures du personnage issu de la BD française, avec Elie Semoun, et qui bénéficie d’une plus grande sortie que les Avengers. Sic. Bande-annonce.
  2. Avengers, avec Iron man, Thor, la Veuve Noire, Hulk, Captain America et Nick Fury dirigés par Joss Whedon. Besoin de la bande-annonce, vraiment ?
  3. Le Prénom, une comédie avec Patrick Bruel dont on nous rabat les oreilles depuis 6 mois. Bande-annonce.
  4. Les jours comptés (I Giorni contati), drame italien à tendance Carpe Diem, d’un vieux qui se rend compte que la vie passe très vite. Bande-annonce.
  5. Avé, drame bulgare avec une autostoppeuse mytho. Bande-annonce.
  6. Querelles, drame iranien sur des parents et des couples qui se disputent. Ça donne envie. Bande-annonce.

UGC Lilleprogrammation

  • Avengers, VO3D ou VF3D toute la journée
  • Le Prénom
  • Les vacances de Ducobu

Majesticprogrammation

  • Avé, VO
  • Querelles, VO
  • Les jours comptés, VF

UGC Ciné Cité VDAprogrammation

  • Avengers, VF ou VF3D
  • Le Prénom
  • Les vacances de Ducobu

Duplexeprogrammation

  • Avengers, VF3D
  • Le Prénom
  • Les vacances de Ducobu
  • Young Adult, sorti le 28 mars.

Non je n’irai pas au Majestic cette semaine. Jpeux pas, y’a pas les Avengers ! 😀 Toujours en VF uniquement à Villeneuve d’Ascq, d’ailleurs. Rofl.


Film : Lock Out

25 avril 2012

J’ai vu Lock Out en VO.

J’y allais un peu à reculons pour plusieurs raisons :

  • des prisonniers qui s’évadent pile poil quand la fille du Président est là, cliché.
  • la réalisation est française.

Et en fait, ce film s’est révélé être une très bonne surprise. Alors ok, l’histoire est un peu connue d’avance mais y’a quand même des rebondissements inattendus, et les histoires respectives des deux protagonistes s’entremêlent. Au scénario : Luc Besson. Celui du 5ème élément, et on le reconnait bien là : héros cynique et désabusé qui sauve le monde, jolie blonde (un peu) moins cruche qu’elle n’en a l’air, vaisseaux spatiaux et gros flingues. Au casting ? Franchement retrouver Joseph Gilgun, l’obsédé et son double qui remplacent Nathan dans la saison 3 de Misfits, avec son accent à couper au couteau et dans un rôle encore plus taré c’était jouissif.

Guy Pearce a une très bonne tête de Bruce Willis avec plus de cheveux et en plus charismatique encore, mignon comme il est. 44 ans, vous dites ? Srsly ? Avec ces muscles-là ? Snow n’est pas un bâtard, loin de là. Et s’il n’a pas cartonné (à mon goût) dans ses récents films, je pense que ça peut changer rapidement avec Prometheus. Maggie Grace, elle, on commence à la voir partout depuis qu’elle jouait Shannon, la blonde sœur de Boone dans Lost, puis Kim dans Taken avec Liam Neeson.

Je veux bien aller le revoir celui-là, même si la fin évidente paraît hors de propos. Elle n’a que 28 ans, enfin ! Et son papa est président ! Je suis contente, le niveau fin avril relève ce début d’année pitoyable.

Y’a comme un rapport avec ça :


Film : Nouveau Départ

25 avril 2012

J’ai vu Nouveau Départ, en VO : We bought a Zoo (et j’ai ajouté Taken et Contagion à mon melting pot de films vus la semaine dernière, je les avais zappés.)

Le fait que ce soit une œuvre basée sur une histoire vraie, franchement, on s’en fout. L’histoire est cousue de fil blanc, la musique parfaitement bien utilisée pour tirer des larmes, tout comme les gros plans et les séquences souvenir. Matt Damon n’est pas si gros que ça, finalement, et sa petite fille est adorable. Puisque son fils fait sa crise d’adolescence suite à la perte de Madame Bee, sa maman, et que Matt a envie aussi de changer d’air, ils décident de déménager et trouvent la maison idéale. Attenante à un zoo. Sans cession possible.

Évidemment, ils vont tomber amoureux, tout comme son fils et la petite cousine de Scarlett, Elle Fanning, la meilleure actrice de Super 8. Évidemment, ils vont s’en sortir, et ça va être magnifique. Mais ça fait du bien de voir Scarlett nature et enjouée, de voir Matt en dehors de son rôle de Jason Bourne, de s’attendrir devant la petite Maggie.

J’aime les zoos, je n’ai même pas honte des heures passées devant ZooTycoon, et j’irai voir les tigres chaque fois que ce sera possible. NewYork, Budapest, Anvers, Maubeuge, Lille, Paris… Tous. Et vous, vous préférez les humains, ou les animaux ?

Y’a comme un rapport avec ça :

  • Films : True Grit, Au-delà, L’agence (tiens, j’ai oublié de le faire l’année dernière celui-là) mais aussi Ocean’s 11,12,13, la Mémoire/Mort/Vengeance dans la peau pour Matt Damon
  • Film : Iron Man 2 pour Scarlett Johansson et Avengers (demain)
  • Film : Super 8 pour Elle Fanning et Twixt (demain)

Films : Melting pot

24 avril 2012

Ces derniers temps, j’ai rattrapé pas mal de films que je voulais voir, qui ne sont plus à l’affiche ou qui constituent de grands classiques. Ça ne vaut pas un article à chaque fois, mais j’ai quand même envie d’en faire un commun. Pis je fais ce que je veux d’abord, na !

Mulan, 1998, dans le genre grand classique Disney. Une fille qui se travestit en garçon pour pouvoir défendre l’honneur de sa famille contre les Huns, c’est beau. Mais il y a surtout une réplique qui mérite d’être remarquée, digne d’un Lannister. A un moment, Attila (là où il passe, l’herbe ne repousse pas toussa) capture deux ennemis et les charge de transmettre un message. Les deux partent en courant quand il s’approche de son archer préféré et lui susurre : « au fait, combien faut-il de messagers pour UN message ? » Schlak ! fait la flèche en fusant. J’ai beaucoup aimé.

99 Francs, 2007 avec Jean Dujardin parce que j’avais bien aimé l’amour dure 3 ans, issu d’un autre roman de Beigbeider. Délire psychédélique sur la publicité et ces créateurs payés à se droguer et ne rien faire, à subir les desiderata des chefs d’entreprises qui ont, après tout, le réel pouvoir : l’argent. Avec une réalisation particulière, très.. en phase avec un bouquin, et des rêves assez bien rendus. Cynique mais si réel.

Zoolander, de 2001 avec Ben Stiller, mannequin stupide avec ses multiples duck faces. Forcément très drôle, comme Tonnerre sous les tropiques, à prendre au second degré. Dans les 10 premières minutes, un jeune blondinet un peu homo (mais déjà grand) qui deviendra 10 ans plus tard un vampire viking si charismatique du nom d’Eric… Et je me demande si un des nains obsédés sexuels (non crédité au générique) ne serait pas Tyrion Lannister. Pas sûre, mais ce serait drôle.

Salt, août 2010 que j’avais raté, avec Angelina Jolie à la longue chevelure blonde ou à la courte chevelure brune, travaillant pour la CIA sous couverture. Mais peut-être qu’elle fait partie d’un programme russe qui forme des enfants à infiltrer les USA. Détails capillaires mis à part, un bon film plein de retournements que je regrette de ne pas avoir vu au ciné. Elle est beaucoup moins cruche que dans The Tourist.

Daybreakers, mars 2010 que j’avais également raté. Je ne me souviens plus de la bande annonce, mais les longs manteaux noirs en cuir de l’affiche me faisaient trop penser à Matrix & Co, et le titre ne m’inspirait guère plus que des voyageurs dans le temps. J’aurai dû approfondir, car c’était en fait un très bon film de vampires, dans une société où la race humaine cantonnée à devenir de l’alimentation est en voie d’extinction. Du sang des tripes et du soleil, qui ne fait pas briller les vampires mais qui les fait cramer. Joli.

Les marches du pouvoir, octobre 2011 avec George Clooney et Ryan Gosling. Un très beau rôle pour ce dernier, plus loquace que Drive. Ryan est co-directeur de la campagne pour l’accession à la présidence de George, gouverneur. Bataille de statistiques, faux-semblants, trahisons et dialogue de sourds à la pêche aux informations, la VOSTFR était trop dure à suivre. Un peu comme dans The Social Network, en fait, ou dans un épisode de Sherlock. Ça fuse de partout. Et la blonde n’a quasiment pas menti sur son âge. Hollywood fait des miracles.

Taken, 2008 avec Liam Neeson qui va chercher sa fille en France, envers et contre tous et surtout contre la traite des blanches. Phrase-choc révélée dans la bande-annonce qui m’avait bien marqué. Sa fille Kim s’aperçoit qu’il y a des cambrioleurs dans l’appartement qu’elle occupe. Elle appelle son papounet qui l’encourage à aller se cacher sous le lit, puis lui dit : « Reste calme. Maintenant, ils vont venir t’enlever. Tu as 10 secondes. » Et ça marche, le rythme est lui aussi enlevé, la recherche effrénée, et il paraît même qu’un Taken 2 est prévu. A ne pas confondre avec Tekken, haha.

Contagion, novembre 2011 de Steven Soderbergh, avec Matt Damon et Marion Cotillard, mais aussi Jude Law, Kate Winslet, Gwyneth Paltrow et Bryan Cranston… un casting monumental pour une toute bête histoire de virus qui se propage extrêmement vite. Un film qui a fait un flop, et qui va s’oublier très vite malgré la pléiade d’acteurs oscarisés.


Bouquin : Le Trône de Fer, tomes 2 & 3

23 avril 2012

J’ai lu la suite du tome 1, j’ai nommé les tomes 2 & 3 : Le Donjon Rouge et La Bataille des Rois. Pas fait exprès, c’est parti tout seul, j’ai pas eu le temps de faire un article à la fin du tome 2 que j’avais déjà achevé le tome 3. Mais non, ce roman ne rend pas addictif, mais non pas du tout !

Si le tome 2 clôt « l’intégrale #1 » et plus ou moins la première saison de la série télé, on attaque avec le tome 3 la saison 2 et l’intégrale #2. Et là, c’est le drame. Pour rappel, il n’y a plus de roi dans Westeros, et la légitimité de Joffrey Lannis Baratheon étant discutable, tout le monde veut devenir roi.

  • Stannis Baratheon, stratège militaire hors pair et désormais l’aîné de la famille, inexorable, rude et détesté de tous. Il avait sa place au conseil restreint sous le règne de son frère, mais ses mesures contre la prostitution n’étaient pas favorablement accueillies. Quand Lord Arryn a fuit, Stannis est retourné auprès de sa femme sur Peyredragon.
  • Renly Baratheon, le jeune et charismatique seigneur d’Accalmie, un peu homo sur les bords. Comme le cuivre il est beau et brillant, mais fait d’un métal trop malléable pour servir d’arme, contrairement à son fer de frère. A Hautjardin, il épouse une rouquine, la sœur du non moins homo Loras Tyrell, dont le papa a beaucoup de navires.
  • Joffrey Baratheon, fils de Robert et héritier légitime. M’enfin, il n’a pas les cheveux noirs caractéristiques de sa famille…
  • Robb Stark, qui ne souhaite pas être régent des 7 couronnes mais voudrait retrouver un Nord libre et indépendant. The King of the North, en somme. Lui, il part de Winterfell, et son loup-garou Vent Gris sème la terreur à ses côtés.
  • Daenerys Targaryen, l’héritière d’un roi fou, exilée de l’autre côté de la mer mais prête à tout pour revenir avec ses dragons…

Comparer les livres à la série est un exercice assez périlleux. Les avancées de l’histoire de Winterfell, de King’s Landing, de Vaes Dothrak étant simultanées, elles ne sont pas forcément dans le même ordre si l’on regarde la série ou si l’on lit les livres. Autant les premiers chapitres du tome 1 étaient parfaitement synchrones avec la série, autant la différence se fait sentir au fur et à mesure de l’avancement.

Mais certaines situations sont vraiment très bien tournées dans la série, et certains détails sont très appréciables dans les bouquins. Je continuerai à faire les deux en parallèle, mais puisque le tome 13 vient de sortir en français, l’avance se fera vite sentir. Et pis y paraît que le tome 8 déchire sa maman.

Bref, pour un roman qui a reçu des prix littéraires en 1997, Le Trône de Fer est plus que jamais d’actualité. Surtout quand on sait que George RR Martin est aussi scénariste sur la série télé…


Film : Battleship

18 avril 2012

J’ai vu Battleship en VO. Mais pas en 3D.

Battleship, c’est la dernière super-méga-giga-production américaine. A la réalisation : Brian Goldner de Transformers et Peter Berg, celui de Hancock. Au scénario, les frères Hoeber qui ont écrit RED juste avant. Au casting : Liam Neeson, Taylor Kitsch aka Virginia John Carter, Alexander Skarsgård aka Eric Northman dans Trueblood, et même Rihanna. A la production, rien de moins que la société Hasbro. Impressionnés ? Il y a de quoi.

Un pitch simple et efficace : les USA fiers comme Artaban lancent un signal à une planète qui ressemble à la Terre. La réponse ne se fait pas attendre et 5 unités pénètrent l’atmosphère pour localiser le signal et appeler des renforts, sans doute. Autour de l’île, comme par hasard, un pti con faisait ses derniers exercices au large d’Hawaï sur un destroyer. Il va devoir sauver le monde en jouant à la bataille navale. F48 : touché !

J’ai vu plus niais, j’ai vu plus chiant, et même si je n’en sors pas époustouflée c’était marrant. Je vous invite à lire la critique de Sylfaen sur senscritique.com, puisqu’il spoile de façon très originale la repompe de tous les films à succès qui pourraient composer Battleship. Rock ‘n Roll !

Y’a comme un rapport avec ça :


Film : Perfect Sense

18 avril 2012

J’ai vu Perfect Sense, en VO.

Déjà je fus étonnée de cette toute petite distribution pour un film avec Obi Wan Kenobi (jeune), quand même. Ewan McGregor, quoi, et Eva Green la James Bond Girl française, dans seulement 25 cinémas en France ? Heureusement, il a tenu 2 semaines au Majestic. Oui heureusement, parce que le film est très bien réalisé, au contraire d’autres apocalyptiques ratés.

On ne parle pas d’aliens ou de soulèvement de la nature brutal fin 2012, mais d’une mutation, d’un virus, d’une épidémie inconnue qui touche tous les continents, soudainement, tout le monde. Rien de surréaliste, juste une vision très (voire trop) optimiste de la survie de l’espèce humaine. De son adaptation face à l’inconnu, du moyen de surmonter chacune des crasses que la vie nous fait. Des émotions qui nous submergent tous, indifféremment, régulièrement.

Étonnamment un film poignant et pas défaitiste. Jusqu’au bout. C’est là que je me rends compte que malgré tout, je reste une optimiste convaincue. Mais si cela arrivait…

Y’a comme un rapport avec ça :


Films : UI, Mercredi 18 avril 2012

18 avril 2012

Encore un lion au programme cette semaine. It’s a zoo ! Yiiiah !

  1. Nouveau départ, Matt Damon en joli papa rencontre Scarlett Johannson et va tenter de sauver un zoo. Bande-annonce.
  2. Lock out, un thriller français dont on a peu entendu parler avec plein d’américains dedans en fait. Des prisonniers d’une station spatiale qui se rebellent pile poil quand la fille du Président est à bord. Bande-annonce.
  3. Rock’N Love, une comédie où les 2 protagonistes qui se détestent se retrouvent menottés. Bande-annonce.
  4. Viva Riva !, drame franco-belge congolais à Kinshasa, la nuit. Bande-annonce.

UGC Lilleprogrammation

  • Lock Out, VO
  • Nouveau départ, VO

Majesticprogrammation

  • Rock’N Love, VO
  • Viva Riva !, VO

UGC Ciné Cité VDAprogrammation

  • Lock Out, VF
  • Nouveau départ, VF

Duplexeprogrammation

  • Lock Out, VF
  • Nouveau départ, VF
  • 38 témoins, sorti le 14 mars.

340, 320 puis 25 cinémas pour les sorties du 18 avril, deux films seulement par UGC, la semaine est pauvre. Et l’affiche également, en fait. Dure semaine.

Question à mes éventuels lecteurs : est-ce que lister également les avant-premières, ça vous intéresse ?